Pour démarrer cette rando un chemin montant en forte déclivité, très caillouteux , accidenté voué à la gomme des moto-cross, nous a certes cueilli à froid mais le second souffle de nos solides carcasses calma nos palpitations à tel point que nos meilleures marcheuses n'avaient pas eu l'impression de grimper.
Nous étions une quinzaine, dont une forte représentation de la gent féminine, très en jambe, qui malgré le bavardage et plusieurs pauses respirations, réhydratations et fatalement pipi, avons parcouru la dizaine de kms légèrement en dessous du temps imparti. Il est vrai que l’opacité de l’atmosphère orageuse et le peu de jolis points de vue n'ont pas donné occasions à musarder en chemin.
A l'arrivée, transpiration, ampoule et échauffement reflétaient de la bonne cadence imprimée par l’ensemble du groupe.
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