La neige ayant rebroussé chemin, les palmipèdes durent remiser l'attirail pour rechausser les croquenots. Les 9 kms agrémentés d'un dénivelé en dents de scie endurcirent les cuisses avec en prime les tiraillements des lendemains pour certains. Les passages sur les échelles de bois verdâtre et les franchissements des ruisseaux occupèrent toute la bienveillante gente masculine afin d'éviter dérapages, chutes mais aussi des bains de pieds forcés. Le vent glacial s'étant invité sur les hauteurs, le ressentit frisquet contrasta nettement avec les coups de chaud des montées.
Crédit Photos: Bernard
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