Un après-midi très venté sur la crête où, par endroits dans un vacarme assourdissant digne d'une soufflerie, de fortes bourrasques firent vaciller même les plus en chair d'entre nous. Ce vent fougueux tel un cantonnier balaya les sous bois nous immergeant dans des nuages de feuilles mortes. Dès la descente entamée un doux silence régna enfin, d'autant plus agréable que le chemin du retour, comparable à une belle avenue, nous ramena d'un trait non loin du parking. Au passage une petite halte au buron du roc de Labro, aménagé pour prendre un temps d'anthropologie régionale, nous remémora la vie paysanne de nos plus proches ancêtres.
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